Équipement

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Pour le jūdō et l’aikidō

Pour tes cours d’essai, tu peux mettre un simple training (short déconseillé pour éviter les brûlures de frottement sur le tatami). Ensuite, il suffit de :

  • un keikogi blanc épais à grain (jūdōgi) toujours propre et sans odeurs
  • une ceinture (obi) blanche (souvent fournie avec le jūdōgi) qui doit pouvoir faire deux tours de taille
  • une paire de zōri (ou sandalettes) pour les déplacements hors du tatami
  • pour les filles, un t-shirt blanc (par ex. celui du club 🙄)

Un keikogi c’est bien, plusieurs c’est mieux pour en avoir toujours un propre à disposition. Il faut apprendre tout de suite à faire le nœud de ceinture toi-même.

Si tu ne fais que de l’aikidō, tu peux prendre un keikogi plus fin de type karate. Il en existe même à manches courtes.

Sécurité et hygiène

  • mains et pieds propres et sans odeurs
  • ongles propres, coupés courts ou emballés dans du tape
  • cheveux longs tressés ou attachés en chignon avec un élastique sans élément dur
  • enlever tous les accessoires (bagues, boucles d’oreilles, colliers, bracelets)
  • si tu as une affection aux pieds (verrue, champignon…), mets des chaussettes propres

Pour le jūdō

Pour les compétitions amicales (à partir d’U11 après un an d’entraînement) et les tsukinami-shiai (à partir de 1er kyū), tu auras besoin en plus d’une ceinture rouge et une ceinture blanche.
À partir d’U15, pour les championnats officiels de sélection, il te faudra un dossard. Au championnat de Belgique seniors, il te faudra même un jūdōgi bleu à la place de la ceinture rouge.

Pour l’aikidō

Une fois à l’aise avec les déplacements et les ukemi, lorsque tu en as la possibilité, tu peux investir dans un hakama, pantalon japonais à jambes amples.

Armes

Pour l’aikidō et certains kata de jūdō, tu auras besoin d’armes en bois : bokken (sabre), tantō (dague), jō (bâton). Dans un premier temps, tu peux les remplacer par exemple par un manche de brosse adapté à ta taille (bokken + jō) et une cuillère en bois (tantō), mais dès que possible, procure-t’en de vrais.

Arrivé à un certain niveau, il te sera conseillé de prendre aussi un iaitō (sabre non tranchant) pour les exercices d’iaidō. Un bokken avec une saya (fourreau) en plastique convient très bien si tu ne souhaites pas vendre un rein pour t’offrir un iaitō.

C’est Jigorō Kanō qui a inventé le jūdōgi (exposé au musée du Kōdōkan). Avant lui, on pratiquait les arts martiaux en kimono traditionnel, dont le tissu était trop fin pour les saisies fortes du jūdō. Comme tu peux le voir, à l’époque, les manches et les jambes étaient plus courtes. Le tissu était du coton écru. Aujourd’hui, les keikogi sont blanchis et souvent synthétiques.
Morihei Ueshiba en hakama avec un jō.
J. Kanō mettait aussi un hakama pour faire du jūdō.
Jō, bokken et tantō en chêne blanc
Iaitō et sa saya

Fournisseurs

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Budo House (Bruxelles) : http://www.budohouse.com

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